Les Pensées d'un Trublion Etudiant

Et oui je vais parler d'Hancock, que j'ai été voir aujourd'hui.

Synopsis:

Attention, Je spoile sur le film. Normal, c'est un résumé.

Hancock, c'est un héros reprenant toutes les qualités des super-héros :  il est quinze fois plus fort que Hulk, vole plus rapidement que Superman, plus rapide que Flash, ... Bref, c'est un super super-héros.
Seulement voilà, il cumule aussi les défauts.

D'abord, c'est un alcolo notoire. Il n'hésite pas à aller en intervention avec une bouteille de sky à la main (ça c'est un bon gars).
De deux, il se met vite, très vite en colère. Deux choses en particulier le rendent fou : qu'on le traite de sale con et qu'on lui casse sa bouteille.
De plus, il n'a aucun respect pour les biens publics et privés et accumule les dégradations.
Un jour, en évitant à un type de se faire exploser par un train, il fait la rencontre de Ray, un expert en communication. Celui-ci veut à tout prix qu'on reconnaisse Hancock pour ce qu'il est, c'est à dire un vrai super-héros.

Mon avis:

Attention, je spoile légèrement.

J'ai beaucoup aimé ce film. L'humour est sympathique, sans faire dans le vulgaire. L'absence de morale du héros, limite misanthrope au premier abord, m'a de suite plu.
J'ai particulièrement aimé le côté politiquement incorrect du film. Il est bon de voir que le super-héros posant devant le drapeau américain avec les mains sur les hanches n'est pas du tout le type d'Hancock et est bien loin du message passé dans le film.
Scindé en deux parties, j'ai apprécié l'une et l'autre. Trouvaille scénaristique intéressante, l'aspect mythologique du héros et par là-même, de son talon d'Achille (inhérent à tout super-héros) le rend attachant et on le prend facilement en pitié.
Dommage, qu'on n'en sache pas plus sur lui à la fin du film. On a envie de trouver les réponses à nos questions.
Certains reprocheront au film l'absence de vrai méchant avec un climax vraiment spectaculaire. Au contraire, je trouve que le fait que Hancock se batte contre humain normal et sans scène vraiment spectaculaire transmet plus d'émotions (ce n'est pas nos yeux qui en prennent plein la gueule, mais notre "coeur") et rend, après en avoir vu la puissance inimaginable, le héros plus humain.
Will Smith nous a fait voir le mieux de ce qu'il pouvait faire dans ce film.

Bref, j'ai particulièrement apprécié ce film et je lui mets un 15/20.

Je viens de regarder L' Incroyable Hulk avec Edward Norton, Liv Tyler, Tim Roth, ...etc

L'Histoire: Attention, je spoile beaucoup sur le film dans le synopsis

On retrouve notre ami vert dans la peau de Ed Norton dans les favelas du Brésil. Il vit en solitaire, travaille dans une entreprise fabricant du soda à base de guarana et cherche un moyen de soigner son mal. Bien sûr, il est finalement retrouvé et s'en suit une course poursuite dans les rues. Durant cette course, il fait la connaissance à coup de tranquillisants et de machine de plusieurs tonnes avec un soldat. Ce soldat finira par se faire injecter du sérum de "super soldat" mais comme ça lui suffit pas, il s'injectera le sang de Banner et deviendra fou de rage. Bref, faut que Hulk s'en charge.

Mon avis:

J'ai regardé ce film pour son acteur principal. Edward Norton fait partie de ces acteurs que j'apprécie énormément, c'est un de mes préféré.
Mais là, je suis déçu. Il y a des incohérences de scénar, d'autres visuelles, ... Il n'y a rien à dire. Je l'ai trouvé creux.
Ah si, j'ai l'impression qu'entre le 1er et le 2nd, Hulk est devenu beaucoup plus faible. Là où dans le premier, il défonçait des chars d'assaut, il se fait latter par une chaîne dans le second. Il a également diminué en taille. Taille qui change pendant le film.

Bref, j'ai pas aimé, même s'il y a des passages intéressants.

8/20

Je viens de finir cette fabuleuse série. Une série qui dérange, qui nous pousse à admirer un tueur. En fait on se prend à suivre les sensations qu'éprouve le héros. S'il apprécie une personne, on l'apprécie, et si l'instant d'après il la déteste, on la déteste à notre tour.

Je donne l'avis éclairé d'une connaissance sur la deuxième saison. Je ne pourrais rien dire de plus que ça, et de façon beaucoup moins bien tournée.
Je remercie donc Sechs de ce texte. Attention, il livre beaucoup de spoil sur cette dernière saison.

Que dire de cette saison deux, si ce n'est qu'elle fut un chef d'oeuvre ? Les mots ne manquent pas pour imager mes impressions, mais le champ lexical de l'apothéose est assez large pour que je passe toute une nuit à les énumérer. Vous comprenez tout de même mon sentiment à l'égard de la saison -et de la série par corrélation- en elle-même. Là où la première saison nous immergeait dans l'univers créé par Jeff Lindsay, où James Manos Jr distillait sa propre conception de l'intrigue, ce dernier se réapproprie l'oeuvre de Lindsay dans la deuxième -voire seconde- saison et nous prouve réelement qu'il a touché de l'or en entamant Dexter. Ni plus ni moins.
Mais aussi, là où la saison se distingue de la précédente, c'est dans le caractère imperméable de sa fin. C'est simple, aucune nouvelle intrigue n'est esquissée, ni ne semble envisagée. Quelque part, c'est une charge en moins pour attendre, mais d'autre part, la troisième saison est incertaine. Là encore, une alternative : c'est très bien parce qu'aucune nouvelle intrigue pourrait être au dessus de celle là ; c'est dommage parce que ça s'achève aussi vite. Et le passage à la fin où Dexter se sert un petit déjeuner digne du générique tend à prouver la deuxième solution. Mais bon, deux saisons de cette qualité, c'est déjà énorme.
Les personnages y sont extrèmement vivants et émouvants, et surtout son héros qui réussit le tour de force de nous paraître très empathique, sans pour autant avoir de sentiments. Et le tout grâce à cette voix off, qu'on attend toujours dans les moments tendues et qui nous permettra de jouir pleinement de l'intrigue. Mais heureusement, il n'est pas le seul à nous faire cet effet-la. Bien que ce soit une aventure suivie d'après les yeux de Dexter et sa vision en partie aseptisée -car dénuée de sentiments- des autres personnages, ces derniers ne nous en apparaissent que beaucoup plus attachants. Tous. Sans exception. Que ce soit Debra, Rita et les enfants, Laguerta, Lundy, Harry, Angel, Masuka ou... Doakes. Les quatre premiers -si l'on compte les enfants de Rita comme deux que j'ai cité- le sont évidement parce qu'ils sont très proches de Dexter, je n'y reviendrai pas. Pour Maria, c'est surtout la fin qui en fait quelqu'un de très sensible, puisque son attache à James ne fait que ressortir avec les évènements et que son expérience finale ressemble beaucoup à celle qu'à vécu Deb' dans la première saison. J'ai beaucoup été touché par la collecte qu'elle fait à la fin et sa discussion avec Debra, vraiment. Elle perd de son côté salope manipulatrice affamée de pouvoir mais gagne énormement plus. Nul doute que j'attends beaucoup d'elle si une troisième saison se présente. Ensuite, Lundy est surtout sympathique dans la liaison qu'il a eut avec la soeur de Dexter, et la sorte de complexe Oedipien qu'il apporte au personnage sus nommé. Mais son côté tranquille, aimant se faire un lunch à l'heure de manger au lieu de faire l'investigation, ainsi que son amour de la musique classique font de lui un personnage qui laisse des traces, nul doute. Harry, même en étant mort, continue à livrer ces secrets, même s'il est plus discret dans cette saison. Mais cela n'enlève rien à l'intérêt qu'apporte le personnage et au cliff qu'il nous apporte lorsque la vie de son fils adoptif s'effondre à cause des principes qu'il a bâti. Beaucoup moins omniprésent, son spectre aura tout de même eu de magnifiques interventions. Puis Angel, vraiment malmené à la fin de cette saison, ce qui donne envie d'aider ce nounours sudaméricain malheureux de ne pas voir autant sa fille et d'avoir été aussi sournoisement manipulé. Masuka, surtout pour le comique qu'il apporte à la série -dans un humour moins corrosif que celui de Dexter, mais tout autant efficace- les répliques qu'il prononce, toutes plus cultes les unes que les autres ("Mon Dieu... le super sans plomb à 3.94 dollars", géniallisme de surprise et déridant à souhait), son côté rat de laboratoire à la finesse fortement dissimulée. Et puis il y a Doakes, sublimé par la saison. La fin de saison l'aura rendu attachant au plus haut point, surtout lorsqu'il devient une sorte de confident pour Dex'. Ce qui lui arrive est d'autant plus regrettable que c'est l'évènement qui m'a le plus choqué de la série. Comprenons que James faisait parti intégrante du mythe dextérien, et que sa perte est d'autant plus regrettable qu'elle laisse un vide dans la série. Un vide nécessaire, mais tout de même douloureux. Je m'y serai beaucoup attaché lors de cette saison, et le manque à la fin n'en est que plus grand. Mais nul question de remettre en cause le scénario ou la série, surtout pas.
Reste le personnage particulier à la saison, à savoir Lila. Elle aussi vraiment prenante. Partie noire et non refoulée du visage de Dexter, elle aura eu une énorme impact sur ce dernier. Un diable à visage humain, on se surprend tantôt à l'adorer lorsque Dexter l'adore et à la détester lorsque ce dernier la déteste. Franchement, chapeau pour m'avoir plongé au plus profond des sentiments de ce tueur au charisme sans égal. Et surtout, sa fin est symbolique puisque Dexter n'accomplit pas le rituel qu'il fait à chacune de ces victimes, comme s'il la distinguait pour la rabaisser mais aussi pour l'élever au dessus des autres tueurs. Simplement magnifique. De ce point de vue là, Lila aura été géniale en vampire britannique drainant la face plane de Dexter pour lui insuffler de la vie.

Très bon point pour ce bilan de saison, le nombre de scènes gravable en mémoire est assez phénomènale. En vrac, la découverte du cimetierre sous marin de Bay Harbor ; les différentes fins alternatives de la discussion avec Debra, à mourir de rire ; Dexter emmené au commissariat se retrouvant devant sa boîte fétiche ; Doakes se faisant enfermé dans la cage ; Dex' s'imaginant en super héros... Que de l'excellent.
Pour finir, il y a cette intrigue du Boucher de Bay Harbor, qui, comme sa prédécesseure -avec l'Ice Truck Killer- s'achève et dénoue tous les fils qu'elle tendait. Aucun sous entendu qui pourrait ramener l'affaire sur le tas, tout finit dans la plus grande transparence. Et c'est ça qui plait. Le nouveau départ de Dexter semble ne pas en être un, mais le bougre a admirablement bien évolué dans cette saison, passant d'élève à maître. S'appropriant le code d'Harry et en faisant le Code de Dexter. Reprenant sa vie en ayant comblé les brêches, et prêt à repartir à sa chasse à l'Homme. Le Dark Passenger est de retour, et il sera encore plus efficace que le Boucher. Ne cherchant plus de réponses à des questions saugrenues, Dexter devient entier. Il est sublimé.

Je n'ai pas de réponses à ces questions. Mais qui pourrait les avoir ?

Le Japon, pays de merveilles et de traditions.

J'aimerai bien partir découvrir cette culture un de ces jours. J'aime tout particulièrement l'histoire de ce pays. L' Empire, le Shogun, les Samurais, les îles Kouriles...
Il y a tant à observer, à apprendre qu'il faudrait plusieurs mois pour essayer d'en mesurer les limites.
C'est sans conteste le pays que je trouve le plus intéressant du continent asiatique.

Malheureusement, le prix du billet d'avion étant ce qu'il est, je n'irai probablement pas avant d'avoir un salaire confortable.

L' Irlande, Terre de Légendes.

Parmi les pays européens, il y en a quelques uns que j'aimerai visiter. L' Irlande en fait partie. Ce pays a su allier traditions et développement économique. A tel point que c'est un des pays ayant la plus forte croissance économique d' Europe.

Si il y avait un endroit à l'étranger où je devais m'installer, ce serait là-bas. Tout ceux qui m'en ont parlé ont vanté la chaleur des Irlandais et la qualité de vie qui y règne. J'ai tellement passé de temps à lire tout ce qui s'y rapporte de près ou de loin que je commence à me sentir presque autant Irlandais que Français. Peut-être que je passe pour un rêveur en disant ça, mais j'assume. De toute façon je ne compte pas m'y installer tout de suite.

Tout ça pour dire que je compte bien bouger. Au moins cet été.
Je vais bosser, puis tout dépenser pour voyager et me faire une capitale ou une grande ville européenne. Beaucoup me tendent les bras : Londres, Amsterdam, Florence, Berlin, même Vienne et Prague m'intéressent. A savoir si elle voudra m'accompagner. Je l'espère.
Mais je sais déjà que des amis seront de la partie.

Je vais ouvrir en fanfare, avec notre fabuleux président.

Je ne sais pas si vous êtes au courant mais vous risquez de l'être à vos dépend.
Dernière mesure de notre gouvernement, désormais, si vous êtes pris plus de deux fois en grand excès de vitesse, l'Etat pourra mettre votre véhicule à la fourrière. Mais de plus, et c'est surtout là que le bat blesse, il se réserve le droit de mettre le véhicule en vente et d'empocher l'argent à son compte.

Je ne sais pas si on se rend bien compte de la chose. Un jeune qui aura une voiture achetée durement, dont il se servira le week-end seulement (c'est courant chez moi) et servira la semaine pour les déplacements des parents peut être dessaisi  de son véhicule et celui-ci vendu au profit de l'Etat. Ce qui fait plus de déplacements pour le jeune (après tout, il l'aura cherché vous me direz) mais également plus de déplacement pour les parents. Et donc des personnes qui n'auront rien à voir avec les fautes en subiront les conséquences. Si ce n'est pas proprement scandaleux !

Après avoir voulu changer la méthode de remboursement et consort pour les maladies longues durées, une autre loi anti-démocratique voit le jour. Et celle-ci sera appliquée, contrairement à celle des maladies longues durées.

Puis j'aurai une question, ou plutôt une interpellation. Faire des économies sur la santé vous paraît-il normal ?
Lorsque vous soignez votre enfant, votre soeur, votre mère, voulez-vous une santé au rabais ou le meilleur pour eux ? Voulez mettre toutes les chances de leur côté ou non ?

Pour finir, je ne suis d'aucun parti. La politique ronge notre société et nos relations. Je suis pour prendre les bonnes idées où elles se trouvent. Qu'elles soient de gauche, de droite, de n'importe quel bord, si une idée est bonne pour notre société et ses membres, je suis pour qu'on l'utilise.